En 1954, Guy Debord écrivait: « La dérive est une technique du déplacement sans but. Elle se fonde sur l’influence du décor ». Aujourd’hui, la psychogéographie est plus que jamais d’actualité, comme pratique, comme littérature et comme inspiration, et notre essai par Merlin Coverley & Cie sur le sujet vient de faire l’objet d’un très beau papier, sur Urbain, trop urbain, le webzine le plus approprié qui soit pour cela (et dans le cadre d’une chronique intitulée « Miroirs de la ville », en plus: on ne saurait faire plus à propos).