Kallocaïne

Ce n’est pas un « mot de l’éditeur », mais cette fois un « mot du traducteur » : Leo Dhayer raconte sa relation avec la dystopie de Karin Boye et comment il en est venu à apprendre le suédois pour pouvoir la traduire : http://laurentqueyssi.fr/…/genese-kallocaine-de-karin-boye…/

 » En définitive, la genèse de ce projet se résume à peu de choses. Pourquoi retraduire Kallocaïne ? Pour donner à ce roman cruel et prophétique la chance d’être lu au XXIe siècle comme l’un des jalons essentiels de la dystopie, injustement méconnu, qu’il demeure. Et pourquoi le lire ? Pour la bonne et simple raison que c’est un putain de chef-d’œuvre, le genre de livre qui vous happe, qui subtilement vous change, et qui ne vous lâche plus. »