À Gagner, un « Dévoreur » dédicacé

En passant

Stefan Platteau a été occupé durant les Halliennales (http://urlz.fr/2wVZ) : en effet, quand il ne signait pas pour les visiteurs du salon, il dédicacait pour les futurs gagnants de ce concours d’Elbakin.net  : http://www.elbakin.net/fantasy/news/23724-Concours-Elbakinnet-:-Devoreur-de-Stefan-Platteau

Oui, vous lisez bien : dix exemplaires dédicacés de « Dévoreur » à gagner.

Allez, on se presse !

Dévoreur, un autre extrait.

Citation

extrait Dev

Dévoreur de Stefan Platteau (http://www.moutons-electriques.fr/livre-359), la magie des astres canalisée dans des mots :

« Il a surgi de derrière la bâtisse, trottinant d’un pas souple : un énorme chien sombre, plus grand que mes ânes, au pelage totalement noir, je veux dire, noir d’absence, noir de néant. Il n’en luisait que deux yeux de perle, qui feignaient de ne pas me regarder, et dedans la gueule deux rangées de dents semblables à des lignes de crêtes. Par quelque caprice de la nature, sa robe ombreuse avait laissé nue la peau de ses mâchoires, mauve et ocre, maladive, tendue comme parchemin sur l’os. Il arrivait sur moi d’une allure apparemment décontractée, mais en réalité rapide et suffisamment directe pour que je sente venir la menace. J’ai perçu son odeur : celle du feu et des scories de métal, celle du sang sur la fourrure. Une peur paralysante m’a serré le coeur. J’ai juste pensé que j’allais finir en barbaque dans l’instant.
Le vent a soufflé comme un goût de sel sur mes lèvres ; et alors, le chien s’est mis à parler. Ou plutôt, à murmurer dans le vent. Sa voix n’émanait pas seulement de son robuste poitrail : elle montait du sol en grondant, s’enflait dans l’air en dilatant les constellations. Mais il s’adressait à moi seul, et tandis qu’il discourait, je voyais pulser au fond de son gosier un soleil sombre en suspens. Il me disait des choses, des choses… qui me faisaient frémir d’horreur et de répulsion. Il m’invitait, au mépris du sens commun, à découvrir et à commettre… à aiguiser… à goûter… à transgresser… à accomplir… eh bien, quelque chose de totalement nouveau. J’étais en nage, les braies et la chemise me collaient à la peau ; toute mon eau me fuyait le corps. La bête m’a montré un avenir tellement choquant, tellement extraordinaire, que mes sens s’en sont voilés, et que j’ai connu un moment d’absence. »

L’Autre Herbier, un événement poétique

« Le mien c’est une sorte de toile d’araignée dans un disque tressé, avec une perle au centre. Et il a des fils qui pendent, je dis que ce sont des fils d’imagination et des fils de mémoire. »

« L’Autre Herbier », de Nicolas & Amandine Labarre (http://www.moutons-electriques.fr/livre-360)

3D Autre herbier

Reçu il y a peu, un ouvrage magique, une aventure poétique contée par Nicolas Labarre et sublimement illustrée par Amandine Labarre (cinquante illustrations de toute beauté).

AutreHerbier

Un événement féerique à lire chez soi, une tasse chaude en main, des rêves pleins les yeux…

La revue de presse du mercredi

Salutations, amis lecteurs :

Internet parle de nous, et toujours de bien belle façon :

« Dévoreur » de Stefan Platteau a été adoré par :

  • Gillossen d’Elbakin.net : « Cela étant dit, une fois plongé dedans  on se laisse emporter par une histoire simple mais remarquablement maîtrisée, entrecoupée de visions mine de rien plutôt épiques, parfois terrifiantes et parfois à même de nous émerveiller, quand ce ne sont pas les deux à la fois.« 
  • Bouddica de Bibliocosme : « Stefan Platteau signe avec « Dévoreur » un nouveau petit bijou qui séduira aussi bien les lecteurs avides de découvrir la suite de « Manesh » que ceux n’ayant pas encore eu l’occasion de découvrir l’univers des « Sentiers des astres ». Une sortie à ne pas rater, tant pour le fond que pour la forme. »
  • Lune de Papillon dans la Lune : « Le texte de Platteau est court, mais après tout c’est un conte et c’est suffisant. Il est plein de poésie, elle-même soulignée par les illustrations intérieures. Je dois dire que j’ai découvert une jolie plume. Le style est riche. L’imagination du monsieur est à la fois glauque et drôle : à un moment le mage envoie ses doigts en éclaireurs. Toi aussi, essaie d’imaginer un auriculaire courant comme un lézard sur un mur. Strange, isn’t it ?« 

« Véridienne » de Chloé Chevalier a annexé :

  • Boudicca de Bibliocosme a été frappée au cœur : « les éditions Les Moutons Électriques sont parvenus à débusquer une nouvelle petite pépite de fantasy francophone. Chloé Chevalier s’en sort remarquablement pour un premier essai, et c’est avec beaucoup d’impatience que j’attends de découvrir ce qu’elle nous a concocté pour la suite. »
  • Supy de L’imaginaire de Supy : « Véridienne est le renouveau de la fantasy française, c’est indéniable. Dans une approche très psychologique des relations entre personnes et sous fond d’intrigues politiques dans un royaume à la tradition très marquée, Chloé Chevalier s’impose ! Et j’espère qu’il faudra compter sur cette jeune auteure encore longtemps. Embarquez-vous pour le Demi-Loup avec un billet sans retour ! »
  • Séréna de Illussion Chronicles : « Nous passons de l’insouciance de la jeunesse à la réalité du monde adulte bref tous les ingrédients sont là pour passer un excellent moment !« 
  • Belgarion d’Elbakin.net : « Pour finir, il convient de souligner la qualité du contenant de ce premier tome qui constitue un bel ouvrage. Ce premier volume affiche de belles promesses, dans l’histoire comme dans l’écriture, fluide et précise à souhait.« 
  • Hélène ptitelfe : « Sur un concept original et simple à comprendre, Chloé Chevalier nous entraîne dans un univers médiéval. D’insouciance à la prise de conscience des enjeux politiques, Véridienne porte son lecteur dans les intrigues de la cour royale et au milieu des champs de guerre et ce à travers le regard de 4 narrateurs. Chloé Chevalier signe chez les Moutons électriques son premier roman qui vaut largement le mérite d’être découvert! Quant à moi, il me tarde déjà de découvrir le destin de toutes ces personnes dans la suite de la trilogie !« 

« Oniromaque » de Jacques Boireau a envolé :

  • Samuel Minne de l’ADANAP : « Oniromaque n’est paru qu’après la mort de son auteur, le regretté Jacques Boireau. Virtuose de l’écriture, il jette au milieu de la narration psalmodique de Jordi quelques pages imitées de Céline, quelques poèmes attribués à Ritsos. Chaînon manquant dans la science-fiction française […]« 
  • Nicolas Winter de Just-A-Word : « Véritable redécouverte d’un auteur qui avait finalement totalement disparu des radars, l’Oniromaque convoque une certaine science-fiction exigeante qui ne renie pourtant jamais sa vocation onirique et poétique. Roman court mais surprenant, cette réédition de Jacques Boireau offre une vision à la fois singulière et bienvenue de l’uchronie. A découvrir.« 

Les Moutons sont heureux !